DSK s’en prend aux "lâcheurs" et aux "faux-culs" du Parti socialiste

Publié à 13h56, le 24 septembre 2012 , Modifié à 14h20, le 24 septembre 2012

DSK s’en prend aux "lâcheurs" et aux "faux-culs" du Parti socialiste
Dominique Strauss-Kahn, à Sarcelles, le 6 mai 2012. (Reuters)

CONFIDENCES – Lepoint.fr révèle, lundi 24 septembre, "la nouvelle vie", "normale", de Dominique Strauss-Kahn. Entre conférences, consultations et rancœur.

DSK a réapparu sur les écrans radars médiatiques. C’était vendredi dernier, sur iTélé. L’ancien patron déchu du FMI s’y exprimait sur la crise économique, pour la première fois depuis son entretien accordé au JT de TF1 de Claire Chazal en septembre 2011. Presque un an jour pour jour. 

Ce lundi, c’est lepoint.fr qui sort un article sur "la nouvelle vie de Dominique Strauss-Kahn". Une nouvelle vie placée sous le signe de la "normalité". "Mais pas comme François Hollande !", précise une de ses proches au site de l’hebdomadaire.

Surtout, Dominique Strauss-Kahn tente de reprendre le cours de sa vie d’expert en économie. Outre ses deux conférences déjà données à Yalta et à Marrakech, il devrait faire escale pour délivrer son expertise à Munich et en Corée du Sud.

Malgré les affaires, reprendrait-il du crédit ? C’est ce qu’assurent ses proches. DSK aurait ainsi écrit "un texte analytique et projectif sur la crise", toujours d’après lepoint.fr qui révèle également que l’ancien favori pour la présidentielle "conseille aussi des entreprises en difficulté".

Mais il ne conseillerait pas que des entreprises. Les Etats aussi seraient friands de ses conseils et analyses. "Des Etats pauvres et endettés", précise lepoint.fr. 

"Il est hyper consulté", explique un proche. "Hors de nos frontières, il a une crédibilité considérable. L’expertise de DSK manque absolument, dramatiquement", renchérit au Point.fr "un ami socialiste".

Ses ex-amis socialistes, où en est-il par rapport à eux ? Ce sont des "lâcheurs" et des "faux-culs", dit-il en privé, rapporte Le Point. D’après l’article, le dîner d’anniversaire de Julien Dray aurait marqué le tournant. Ou la prise de conscience, comme le raconte "une proche" :

"Il avait la haine. Il a réalisé qu’il était un pestiféré, un infréquentable."

 

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