Le verrouillage du PS par Martine Aubry fait grincer des dents

Publié à 15h23, le 27 août 2012 , Modifié à 15h40, le 27 août 2012

Le verrouillage du PS par Martine Aubry fait grincer des dents
Martine Aubry à La Rochelle, le 26 août 2012. (Reuters)

"Je fais des croix sur le mur, chez moi, pour compter les jours" s'amuse "un ami du chef de l'État" dans un article du Monde daté de ce mardi 28 août. 

Martine Aubry a prononcé dimanche 26 août son dernier discours de première secrétaire du Parti Socialiste. Mais elle n'est pas encore partie. Et elle n'a pas encore tranché entre les deux hommes qui briguent sa succession : Jean-Christophe Cambadélis et Harlem Désir

Dans les colonnes du Monde, un "député de la gauche du PS" dénonce : "c'est comme chez Kim Il-Sung", du nom du père de Kim Jong-Il, dictateur de Corée du Nord.

Un "vieux routier" du PS renchérit : "Elle dirait : 'il faut un cheval à la tête du parti', elle l'aurait ! "

Ou encore un conseiller de François Hollande, toujours dans Le Monde :"A la fin des fins, ce sera un adoubement par défaut. On aura celui que la sortante répugne le moins à  lui voir succéder..."

Du rab sur le Lab

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