Valérie Trierweiler renonce à une émission télé et regrette le tweet de soutien à Falorni

Publié à 06h32, le 03 octobre 2012 , Modifié à 09h27, le 03 octobre 2012

Valérie Trierweiler renonce à une émission télé et regrette le tweet de soutien à Falorni
Valérie Trierweiler, à Paris, le 14 juillet 2012. (Reuters)

PREMIERE DAME – Valérie Trierweiler s’exprime, mercredi 3 octobre, dans une interview exclusive accordée à Ouest France . L’occasion pour la compagne de François Hollande de clarifier sa situation, notamment sur le tweet polémique de soutien à Olivier Falorni contre Ségolène Royal ainsi que sur la rumeur qui lui attribuait une émission à venir sur D8 , nouvelle chaîne du groupe Canal. Morceaux choisis.

Une émission télé

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Après une période de réflexion, j’ai choisi de renoncer. Avec D8 où je travaillais depuis sept ans, nous avions évoqué des ébauches de projets, mais pas une émission régulière. (…)

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Mais je comprends que, pour certains, être la compagne du Président et travailler pour une télévision puisse susciter des interrogations voire un trouble, c’est pour cette raison que je ne donne pas suite.

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> Le journalisme ? 

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Je suis journaliste à Paris Match depuis 22 ans, je tiens une chronique littéraire qui n’a rien à voir avec la politique. Mes enfants sont à ma charge et je ne vois pas comment faire sans salaire. (…)

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Conserver mon indépendance financière me semble également plus sain pour garder les pieds sur terre. (…)

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Mon travail de journaliste, très solitaire, je l’effectue à notre domicile où nous vivons toujours.

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>  L'Elysée ?

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Mon équipe, réduite, est composée de trois personnes pour répondre au courrier et pour mener à bien nos projets. C’est d’ailleurs ce qui a toujours existé.

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> Les livres sur elle ?

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Je n’ai pas le sentiment que les auteurs parlent de moi mais d’un personnage qu’ils auraient imaginé pour correspondre à leurs clichés.

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> Le tweet de soutien à Olivier Falorni ?

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C’était une erreur que je regrette. J’ai été maladroite puisque cela a été mal interprété. Je n’avais pas encore réalisé que je n’étais plus seulement une simple citoyenne.

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