L'élection d'Olivier Falorni face à Ségolène Royal aux dernières élections législatives a fait bien des remous à La Rochelle et au Parti socialiste. Les ténors de Solférino se sont pourtant succédés pour soutenir l'ancienne candidate à l'élection présidentielle.
Sauf Lionel Jospin, à qui il est reproché de ne pas avoir travaillé au désistement du candidat dissident. Lui jure qu'il n'y est pour rien, selon le Nouvel Observateur
Le mutisme de Jospin
"Jospin l'inerte". C'est ainsi que le Nouvel observateur titre l'un de ses indiscrets qui revient sur le duel de socialistes à la Rochelle. Aux dernières élections législatives, Olivier Falorni, candidat dissident avait battu ,dans un affrontement très médiatique, Ségolène Royal.
Au Parti socialiste, l'état-major a pourtant apporté un soutien direct à la candidate officielle. Mais pas Lionel Jospin qui se voit reprocher un certain mutisme.
Selon le Nouvel Observateur, "Lionel Jospin jure qu'il n'a pas poussé en sous-main (...) Olivier Falorni". En revanche, l'hebdomadaire précise :
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Le PS l'avait sollicité (...) pour qu'il convainque Falorni de se retirer, et il n'a jamais donné suite ...
"Pendant la campagne, son silence avait été remarqué. Jean-Louis Bianco , fidèle de Ségolène Royal l'avait invité à soutenir sa candidate :
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J'attends de celui qui a été premier secrétaire du Parti socialiste qu'il dise publiquement qu'il soutient Ségolène Royal.
"Dans VSD, Ségolène Royal elle même avait mis en avant son différend avec l'ancien Premier ministre :
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Jospin assouvit une vieille rancune.
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