Un tweet et l'actualité politique est bouleversée. Le court message publié par Valérie Trierweiler a agité la droite comme la gauche. Mais s'il y a quelqu'un qui n'aime pas la pratique de Twitter pour les personnalités politiques, c'est Henri Guaino.
L'ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy trouve, sur BFM TV, que "cela rend fou" et que c'est "très dangereux".
"Cela rend un peu fou"
Sur bfmtv.com
Twitter, c'est dangereux. C'est l'opinion catégorique d'Henri Guaino au sujet du réseau social. L'ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy n'a pas de compte sur Twitter et n'a pas l'intention de s'y mettre.
Face à Ruth Elkrief sur BFM TV, Henri Guaino a fait part de son sentiment au sujet du soutien de Valérie Trierweiler à Olivier Falorni via un message de 140 caractères. Pour lui, Twitter est au coeur du "piège de la transparence médiatique" :
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Si l’on ne veut pas avoir ce genre de désagréments c’est tout simple, il ne faut pas tweeter.
"Henri Guaino ne conseille pas l'usage de Twitter pour les politiques. Il qualifie même cet outil de "dangereux", "cela rend fou", ajoute-t-il :
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Moi je ne tweete pas, je trouve cela très dangereux et je pense que les hommes et les femmes politiques ou leurs compagnes, leurs proches devraient éviter cela, cela rend un peu fou (…) Tout n’est pas bon à dire.
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Ecoutez Henri Guaino sur BFM TV :
A 11h56, Valérie Trierweiler avait, sur Twitter, affiché son soutien à l'opposant de Ségolène Royal à La Rochelle pour les élections législatives, Olivier Falorni. Un tweet loin d'être sans conséquence puisqu'il est arrivé quelques heures après le soutien de son compagnon, François Hollande, à la candidate du PS.