Après le président normal, le citoyen normal. L'occasion était trop belle pour Isabelle Balkany, proche parmi les proches de Nicolas Sarkozy.
Sur les ondes d'Europe 1 ce 27 septembre, la première adjointe au maire de Levallois-Peret a demandé à ce qu'on arrête d'"harceler" l'ancien chef d'Etat sur ses activités privées [notamment sur les sommes perçues en tant que conférencier] et a dégainé une formule à mi-chemin entre le "président normal" et la "bravitude " de Ségolène Royal :
"Il faut arrêter de le harceler avec ce qu’il fait. Il fait ce qu’il veut, comme il veut et quand il veut. Nicolas Sarkozy est maintenant est un homme et un citoyen normal, il est rentré dans la normalitude.
"
Ne voulant rien dire sur les intentions de l'ancien président, elle a simplement répété qu'elle ressentait une "grande nostalgie des Français"à son égard et qu'on ne pouvait prédire "les circonstances dans six mois, un an ou trois ans".