Jean-Louis Borloo forcé de trancher le litige entre Yves Jégo et Philippe Vigier sur l'interim à la tête de l'UDI

Publié à 18h23, le 08 février 2014 , Modifié à 18h38, le 08 février 2014

Jean-Louis Borloo forcé de trancher le litige entre Yves Jégo et Philippe Vigier sur l'interim à la tête de l'UDI
Maxppp.

Jean-Louis Borloo est sorti de l'hopital. Victime d'une pneumonie, le président de l'UDI, est resté cloué au lit pendant de longues journées, dans l'impossibilité de gérer les affaires de son parti à 100%.

Et c'est dans les colonnes des confidentiels du Figaro que la "guerre" pour l'interim du big boss se joue ces derniers jours. Le 3 février dernier, Le Figaro annonce qu'il faut s'en remettre à Yves Jégo, délégué général de le temps, le temps  de la convalescence de Jean-Louis Borloo.

Mais, deux jours plus tard, voilà que le porte-parole du mouvement centriste, Philippe Vigier, conteste cette information, et assure dans les colonnes du même quotidien, qu'Yves Jégo en fait trop :

C'est faux, puisque la direction est collégiale, quoi qu'en dise Jégo. Et ce n'est pas très élégant.

Le 6 février, Le Figaro annonce enfin que Jean-Louis Borloo a tranché l'affaire depuis son lit d'hôpital en faveur d'Yves Jégo. Si le journal se base sur le tweet de l'ancien ministre de l'Environnement, il faut reconnaître que le message reste mesuré, puisqu'il accorde à Yves Jégo la responsabilité de la "coordination", et cite d'autres poids lourds de l'UDI que sont notamment Hervé Morin et Jean-Christophe Lagarde :

Du rab sur le Lab

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