Jean-Luc Mélenchon, marsupilami politique

Publié à 15h56, le 05 avril 2012 , Modifié à 15h56, le 05 avril 2012

Jean-Luc Mélenchon, marsupilami politique
Jean-Luc Mélenchon, le 2 avril 2012. (Maxppp)

Rebelle, omniprésent, cristallisant passion et attention, la description sied autant au Marsupilami qu’à Jean-Luc Mélenchon. C'est l'analyse du Dauphiné Libéré qui explique que le candidat du Front de gauche fait tourner des têtes, notamment celles du PS et d'EELV, et fragilise leur accord 

  1. Trouble fête de la gauche plurielle

    Sur ledauphine.com

    Mi-novembre, le Parti socialiste et EELV signaient un accord portant notamment sur des circonscptions réservées aux Verts, aux législatives du mois de juin. Accord mis à mal depuis la montée à 15 % de Jean-Luc Mélenchon, et la chute d'Eva Joly.

    Houba houba hop, c’est moi qui leur fais tourner la tête.

    La phrase est extraite d'un billet d'Antoine Chandellier qui, dans le Dauphiné Libéré, compare le candidat du Front de gauche au Marsupilami : rebelle, indocile, omniprésent et surtout objet de toutes les attentions. 

    De Hollande d'une part, qui aimerait bénéficier de se réserve de voix au second tour et trace "ses azimuts du centre à l’extrême gauche", et des Verts, d'autre part, qui s'inquiètent du respect de leur accord, fragilisé.

Du rab sur le Lab

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