La coresponsable du programme de Mélenchon refuse d’appeler à voter Macron, article le plus lu de la semaine

Publié à 18h07, le 30 avril 2017 , Modifié à 18h07, le 30 avril 2017

La coresponsable du programme de Mélenchon refuse d’appeler à voter Macron, article le plus lu de la semaine

#BESTOFHEBDO – Et voici venue l’heure, comme chaque week-end, de notre attendu Top Hebdo, le classement des articles les plus lus de la semaine sur le Lab. Cette semaine, c’est le refus de la coresponsable du programme de Jean-Luc Mélenchon d’appeler à voter Macron qui termine sur la première marche du podium. Suivent la visite hors norme d’Emmanuel Macron à l’usine Whirlpool d’Amiens et la petite phrase de Ségolène Royal qui révèle qu’elle soutenait bien le candidat d’En Marche !. Mais ce n’est pas tout…

#1 – Je peux même pas dire son nom

La défaite ne passe pas vraiment dans la camp Mélenchon. Dimanche soir, Jean-Luc Mélenchon a refusé de donner une quelconque consigne de vote pour le second tour, expliquant que ce choix reviendrait aux adhérents de la France insoumise. Dans son camp, il n’est pas le seul à ne pas appeler à voter Emmanuel Macron. La coresponsable de son programme Charlotte Girard en fait partie. Si elle précise qu’il "n’y aura pas de bulletin Front national dans l’urne qui soit commandé par un insoumis", Charlotte Girard assure, à titre personnel, avoir du mal à "prononcer le nom" de Macron.

[A LIRE ICI ]

#2 – Du chaos au dialogue

Cela restera, quoi qu'il arrive, comme l'une des séquences de cet entre-deux tours de l'élection présidentielle. Mercredi 26 avril, juste après la visite surprise de Marine Le Pen à l'usine Whirlpool, à Amiens, menacée de fermeture, Emmanuel Macron s'est rendu sur le site bloqué depuis lundi par des grévistes. Et le piège tendu par l'opération de communication menée plus tôt par la candidate FN s'est refermé sur son adversaire.

Le candidat d'En Marche ! a été accueilli par des huées, des sifflets et des "Marine présidente !" Mais, petit à petit, le ton a changé. Le calme est revenu. Le dialogue s'est installé entre les salariés et le candidat. On a même vu des sourires et entendu quelques blagues, certaines bon enfant et d'autres plus acerbes.

[A LIRE ICI ]

#3 – L’aveu

Ségolène Royal avait tout fait, durant la campagne présidentielle, pour ne pas dire à qui, d'Emmanuel Macron ou de Benoît Hamon, irait son vote. On la sait plus proche idéologiquement et politiquement du premier, mais le second était le candidat officiel de son parti. Jusqu'au bout, elle n'aura rien dit de définitif quant à ses intentions. Mais une petite phrase lâchée mardi 25 avril, deux jours après le premier tour et la qualification du leader d'En marche !, semble indiquer qu'elle roulait bien pour lui, au moins dans son cœur.

[A LIRE ICI ]

#4 – "Faute morale"

Le front républicain a du plomb dans l’aile depuis le 23 avril et l’annonce des résultats du premier tour de l’élection présidentielle. Même à gauche, surtout chez les élus de la France insoumise, l’appel au vote pour le candidat d’En Marche ! est *légèrement* compliqué. Jean-Luc Mélenchon lui-même ne fera pas connaître son vote pour le second tour, préférant laisser la parole aux adhérents de son mouvement. Des états d’âme et une certaine ambiguïté qui agacent le chanteur Grand Corps Malade, qui dénonce la "grande faute morale" du candidat de la France insoumise.

[A LIRE ICI ]

#5 – Say la faute à Sens commun

François Fillon a été éliminé dès le premier tour du scrutin élyséen, une première pour le candidat de la droite sous la Ve République. Et, à l'heure du bilan de la défaite, le candidat de la droite de regretter cette dernière séquence de campagne autour de Sens commun, après les séquences autour des affaires. Selon le Canard Enchaîné du 26 avril, François Fillon estime ainsi avoir été "totalement plombée" par cette fin de campagne.

[A LIRE ICI ]

Du rab sur le Lab

PlusPlus