La sécurité du président, "un prétexte" pour parler de l'affaire Gayet, selon François de Rugy

Publié à 12h32, le 14 janvier 2014 , Modifié à 12h37, le 14 janvier 2014

La sécurité du président, "un prétexte" pour parler de l'affaire Gayet, selon François de Rugy
MaxPPP.

BANDE D'HYPOCRITES - C'est le photographe de Closer lui-même qui le dit: François Hollande est "mal protégé". Il aurait même pu attenter à la vie du président, assure-t-il, à plusieurs reprises. Mais François de Rugy, co-président du groupe écologiste à l'Assemblée nationale, n'est pas inquiet pour la sécurité du président. Selon lui, ceux qui font état d'interrogations sur ce sujet sont juste de gros hypocrites.

Invité de RFI ce 14 janvier, François de Rugy estime que parler de la sécurité du président dans le cadre des révélations sur sa liaison supposée avec Julie Gayet est un "faux prétexte" :

Ça, c'est un faux prétexte que certains trouvent. Les mêmes qui disent 'la presse people est une presse caniveau', mais comme ils veulent quand même en parler, ils trouvent des prétextes comme la question de la sécurité.

Voir le passage, à 3'20 :

Plusieurs responsables politiques ont été interrogés sur ce sujet. Manuel Valls a assuré au Monde que "la sécurité du président n'a jamais été menacée", et François Rebsamen a préféré assurer que "le propre d'une sécurité, c'est que ça ne se voit pas", mettant ainsi en doute les propos du photographe. Selon Le Monde, deux policiers suivent constamment François Hollande dans ses déplacements.

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