La Une de Closer ? "Cela n'embarrasse absolument pas le pouvoir", assure le ministre Pascal Canfin

Publié à 19h37, le 11 janvier 2014 , Modifié à 19h42, le 11 janvier 2014

La Une de Closer ? "Cela n'embarrasse absolument pas le pouvoir", assure le ministre Pascal Canfin
Pascal Canfin à l'Elysée, le 15 novembre 2012. (Maxppp)

SPOILER - Invité ce samedi 11 janvier à réagir sur RTL à la une de Closer publiant des photos de François Hollande et l'actrice Julie Gayet , Pascal Canfin, ministre délégué chargé du Développement, assure que cette paparazzade "n'embarasse absolument pas le pouvoir" et imagine déjà la question et la réponse lors de la conférence de presse présidentielle du 14 janvier.

"Vous disiez embarassant pour le pouvoir, pourquoi est-ce embarassant ?" commence le ministre, sur la même ligne que sa collègue de la Justice . "Ce sera réglé quand ce sera réglé. C'est une affaire privée. Point barre. Je n'ai pas de commentaire à faire sur ce sujet", poursuit-il.

Selon Pascal Canfin : 

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Cela n'embarrasse absolument pas le pouvoir. Cela ne change rien au fonctionnement ni de l'État, ni de l'Élysée ni du gouvernement. On passe à autre chose et on parle du Mali ?

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Et quand on lui demande si la troisième conférence de presse semestrielle du chef de l'État n'est pas condamnée à se dérouler dans une "drôle d'ambiance",  Pascal Canfin sort la boule de cristal et imagine la réponse de François Hollande:

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Je suis sûr qu'il y aura une question qui sera posée par un journaliste sur ce sujet. Sans doute au début de la conférence.

Le président de la République dira ce qu'il a à dire. Certainement que c'est sa vie privée et qu'il n'est pas là pour ça, qu'il est là en tant que président de la République. Et puis on passera à autre chose. Aux vrais sujets. 

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Joints par le Lab, l'Elysée et l'entourage de Valérie Trierweiler assurent en choeur que, malgré les rumeurs, "aucun communiqué n'est à l'étude" pour compléter la déclaration de François Hollande, "lue par un proche"à l'AFP, indiquant que le chef de l'État "examine les suites, y compris judiciaires" .

Du rab sur le Lab

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