Louis Aliot (FN) balance à Léa Salamé son "affaire du permis de conduire" lorsqu'elle l'interroge sur les Panama papers, article le plus lu de la semaine

Publié à 17h02, le 10 avril 2016 , Modifié à 17h08, le 10 avril 2016

Louis Aliot (FN) balance à Léa Salamé son "affaire du permis de conduire" lorsqu'elle l'interroge sur les Panama papers, article le plus lu de la semaine
© Montage Le Lab via AFP

#BESTOFHEBDO - Et voici venue l'heure, comme chaque week-end, de notre attendu Top Hebdo, le classement des articles les plus lus de la semaine sur le Lab.

Cette semaine, c’est la contre-attaque de Louis Aliot qui a retenu votre attention. Interrogé sur les Panama papers, l'eurodéputé FN balance à Léa Salamé son "affaire du permis de conduire". Mais ce n'est pas tout…

#1 - Et votre permis de conduire ?

Les cadres du Front national martèlent que leur parti n’est pas concerné par l’affaire des Panama papers, qui mettent en cause Frédéric Chatillon, un très proche de Marine Le Pen. Sur France Inter, l’eurodéputé FN Louis Aliot a dénoncé une "diffamation par amalgame"... et contre-attaqué en évoquant "l’affaire du permis de conduire de Léa Salamé", son intervieweuse.

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#2 - La French touch

François Hollande est perpétuellement en retard. Au moment de la photo de famille des chefs d’Etat en fin de sommet sur la sécurité nucléaire à Washington, le 1er avril, le président français manque à l’appel, tout comme le dirigeant de la Corée du Sud. Ce qui a valu au chef de l’Etat une remarque de Barack Obama en personne, qui chambre : "On attend encore deux personnes. Je vous laisse deviner qui."

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#3 - Ôtez-moi ce voile

Air France va imposer à ses hôtesses de l’air de porter le voile en arrivant sur le sol iranien (même si celles qui le souhaitent pourront refuser de faire la liaison Paris-Téhéran). La décision de la compagnie aérienne ne surprend pas Bruno Le Maire, qui raconte que, lors d’un voyage en Iran, sa femme a dû porter un voile intégral. Cette anecdote a fait bondir Nadine Morano, qui dit avoir été "profondément choquée" de l’attitude de son rival à la primaire qui, selon elle, "aurait mieux fait de ne pas emmener sa femme dans ce voyage."

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#4 - Je vous répète que ça ne sert à rien

Le 30 mars, François Hollande a abandonné l’idée de réunir le Congrès pour inscrire dans la Constitution l’état d’urgence et la déchéance de nationalité. Cette dernière mesure a pourtant monopolisé le débat politique pendant plusieurs mois. Mais le chef de l’Etat ne regrettera rien. Dans une interview au tabloïd allemand Bild, le président explique que "ce n’est pas en enlevant la nationalité que l’on peut combattre le terrorisme". Manuel Valls, lui aussi, avait expliqué que cette mesure n'était que "symbolique".

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#5 - Autoscoop

Avant que Le Monde révèle l’implication de proches du Front national dans l’affaire des Panama Papers, Frédéric Chatillon, PDG de la société Riwal (principal prestataire de service du parti), s’est "auto-scoopé". Dans un post Facebook, ce proche de Marine Le Pen a expliqué que la société Unanime, une agence de communication liée à Riwal, a investi en Asie. De lui-même, il fait le lien avec le cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca, en assurant que la manœuvre est légale. Surtout, l'ex-président du GUD prend soin de protéger le Front national en écartant toute responsabilité du parti.

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