Invité de RTL, lundi 25 mars, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a dénoncé les attaques incessantes de Jean-Luc Mélenchon contre l'exécutif.
Manuel Valls y voit une tentative de courir "derrière l'extrême droite dans son langage" :
"[...] Il y a beaucoup de violence dans le débat public [...]
Les propos de Jean-Luc Mélenchon participent de cela. Ils sont inacceptables.
Il ne sert à rien de courir derrière l'extrême droite dans son langage.
Il ne sert à rien d'essayer de diviser la gauche et de remettre en cause ce que nous sommes en train de faire.
"
Interrogé quelques minutes plus tard sur le plateau de BFMTV, le patron du PS, Harlem Désir, a porté les mêmes accusations, tout en se montrant un peu plus précis sur la référence historique.
Revenant sur l'accusation d'antisémitisme adressée à Jean-Luc Mélenchon, qui a assuré que Pierre Moscovici "ne pense plus en français ", le patron du PS y a vu :
"Des thèmes et une rhétorique de l'extrême droite des années 30.
"