Marine Le Pen victime d'une fracture de la colonne vertébrale après une chute dans sa piscine vide

Publié à 17h56, le 18 mai 2013 , Modifié à 10h09, le 20 mai 2013

Marine Le Pen victime d'une fracture de la colonne vertébrale après une chute dans sa piscine vide
(Maxppp)

Jean-Marie Le Pen a remplacé sa fille ce 18 mai dans un déplacement à Limoges, à la rencontre du bureau du Front national et des adhérents. Marine Le Pen avait annulé "pour raisons de santé", le président d'honneur en a dit davantage : elle serait victime d'une "fracture de la colonne vertébrale" pour cause de chute dans sa piscine vide.

Marine n'a pas pu venir car elle a été victime d'un accident assez grave qui l'empêche de se déplacer.

Elle est tombée dans sa piscine vide et s'est fait une fracture de la colonne vertébrale.

Selon les informations de France 2, relayées par leur rédacteur en chef adjoint Olivier Siou, il s'agit plus précisément d'une fracture du sacrum, situé en bas de la colonne vertébrale.

L'accident n'est cependant pas nouveau puisqu'il date d'il y a une semaine. Si elle limite ses déplacements, la présidente du parti continue de répondre aux interviews, comme par exemple le 15 mai dans l'émission Questions d'infos, sur LCP. Elle est par ailleurs toujours annoncée dans l'émission C politique de France 5 dimanche. Son conseiller presse l'a tweeté :

Marine Le Pen sera demain en direct à 17h45 sur France 5, l'invitée de Caroline Roux dans C/Politique.

— alain vizier (@AlainVizier) 18 mai 2013

[Edit 18h45 ] Marine Le Pen se veut rassurante :

Pas de panique ! Fracture du sacrum le week-end dernier, ce sera long, c'est douloureux, mais rien de dramatique ! MLP

— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 18 mai 2013

Avant l'arrivée du président d'honneur du FN à Limoges, 250 personnes ont manifesté avec des slogans tels que : "Extrême-droite, hors de nos vie !"

Durant son discours, Jean-Marie Le Pen s'est notamment insurgé contre la disparition du mot "race" de la législation. Rappelons que François Hollande s'est engagé à supprimer ce terme de la Constitution. Le PS considère que le retirer du Code pénal, du Code de procédure pénale et de la loi de 1881 sur la liberté de la presse est "une première étape".

Jean-Marie Le Pen a quant à lui déclaré :

Franchement, je ne vois pas ce que le mot race dans la Constitution entraîne comme conséquence. Il n'y aura pas plus, pas moins de racisme, quand le mot sera supprimé de la Constitution. (...)

Ne pouvant éradiquer le mal, ils ont éradiqué le mot.

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