Municipales 2014: la piste d'une candidature de DSK à Sarcelles

Publié à 01h59, le 27 novembre 2012 , Modifié à 02h30, le 27 novembre 2012

Municipales 2014: la piste d'une candidature de DSK à Sarcelles
Dominique Strauss-Kahn, à Sarcelles, le 6 mai 2012. (Reuters)

BALLON D'ESSAI ? - Dominique Strauss-Kahn envisage une candidature aux élections municipales à Sarcelles, en 2014 : voilà ce qu'affirme Le Figaro, qui l'écrit sans conditionnel ni formule interrogative mais en prenant toutefois un luxe de précaution, dans un confidentiel de son édition à paraître mardi 27 novembre (lien payant).

Le quotidien cite un "élu local", qui cite lui-même ... "une rumeur" :

La rumeur qui court le département, c'est celle du retour de Dominique Strauss-Kahn pour les municipales de 2014 à Sarcelles.

Et, à en croire le titre de la brève du quotidien, toute la ville espèrerait ce retour :

Sarcelles attend DSK pour les municipales de 2014

(photo Reuters : Dominique Strauss-Kahn, le 6 mai 2012, à Sarcelles)

Le Figaro qualifie cette éventualité de "version low-cost" du retour de l'ancien patron du FMI dans la vie politique française, référence à sa candidature avortéeà la présidentielle 2012, et rappelle que c'est un très proche de DSK, le socialiste François Pupponi, qui est actuellement député-maire de la ville de Val-d'Oise.

(photo Reuters : Dominique Strauss-Kahn, le 22 avril 2012, à Sarcelles)

Les appels du Labà l'entourage de DSK sollicitant une réaction à cet écho sont restés, pour l'heure, sans réponse.

Au début de l'année 2012, Le Parisien racontait, dans ses pages locales, que le retour de DSK à Sarcelles, au prétexte des voeux de son successeur, François Pupponi, le 8 janvier 2012, s'était soldé par un franc succès :

Certains l'applaudissent chaleureusement, d'autres plus timidement ou pas du tout, mais l'accueil est quand même positif pour l'ancien élu de la ville.

DSK peine à fendre la foule : il serre des mains, claque des bises, donne des accolades chaleureuses et pour certaines visiblement empreintes d'émotion.

Cerné par les smartphones et les appareils photo numériques, l'ancien ministre prend volontiers la pose avec des inconnus, des employés municipaux, des élus…

Dans ce même article, Le Parisien citait également le témoignage d'un élu, le conseiller général socialiste de Garges-lès-Gonesse, Hussein Mokhtari, qui assurait :

S'il repart, on sera avec lui.

Du rab sur le Lab

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