#BESTOFHEBDO - Et voici venue l'heure du Top Hebdo, le classement des articles les plus lus de la semaine sur le Lab.
Et cette semaine, c’est notre quiz "Qui reste-t-il à EELV ?", qui occupe la première place… mais ce n’est pas tout.
#1 - Qui reste-t-il à EELV ?
Depuis 2012, et plus encore depuis le départ du gouvernement de Cécile Duflot et de Pascal Canfin en 2014, une épidémie de départs frappe EELV. Qui reste-t-il donc à EELV après les multiples défections qui ont marqué les derniers mois ?
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#2 - "Des gamins décérébrés, surgavés d’argent…"
Après le dérapage du jeune joueur du PSG Serge Aurier, qui a insulté son entraîneur Laurent Blanc sur Periscope et a été mis à pied par son club, le centriste Jean-Christophe Lagarde a réagi dans un pamphlet twitteresque. Le président de l’UDI dénonce "des gamins décérébrés, surgavés d’argent, entourés par des sangsues".
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#3 - Quand Manuel pas content, lui priver socialiste de ministère
L’Express rapporte un incident survenu entre Manuel Valls et Sébastien Denaja, le 9 février, soit deux jours avant le remaniement. N’appréciant que très moyennement l’amendement déposé par le député PS de l’Hérault visant à interdire toute dissolution de l’Assemblée nationale pendant l’état d’urgence, le Premier ministre lui a lancé, devant les parlementaires socialistes réunis : "C’est con, à quarante-huit heures près, tu devenais ministre !"
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#4 - Va te faire voir chez LR
Le projet de loi El-Khomri sur la réforme du droit du travail n’est pas encore présenté devant le Parlement qu’il déchaîne déjà les passions, surtout à gauche. Alors que le Medef et la droite jugent que ce texte "va dans le bon sens", plusieurs voix à gauche se sont déjà élevées contre certaines mesures prévues, comme sur le temps de travail quotidien et hebdomadaire. La section du Parti socialiste de Mulhouse est même allée jusqu’à conseiller, dans un tweet, à la ministre du Travail d’adhérer à Les Républicains.
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#5 - La stratégie de l’échec
François Hollande n’hésite plus à nommer les désaccords qui existent entre Manuel Valls et lui-même. Libération rapporte que le chef de l’Etat a ainsi lâché à des proches : "Valls pense qu'on ne peut plus gouverner avec une partie de la gauche, alors que sans rassemblement de la gauche, je suis sûr de perdre au premier tour de la présidentielle". A travers ces mots, le président montre donc qu’il pense que c’est en rassemblant la gauche qu’il peut accéder au second tour de la présidentielle, mais aussi… qu’il songe déjà à la présidentielle.
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