Nicolas Sarkozy ne veut plus être le Président "bling-bling" qu'il était au début de son quinquennat. Exit la Rolex ultra-voyante qui fut un temps considérée comme un signe extérieur de réussite par le publicitaire Jacques Séguéla. Décryptage.
Un candidat assagi ?
Sur liberation.fr
Liberation.fr a mis le doigt sur le poignet de Nicolas Sarkozy. En effet, qui n'a pas remarqué l'effort de sobriété consenti par le candidat UMP à l'élection présidentielle, aux antipodes de son comportement en 2007 ? Et pour cause, en cette période de crise, le Président ne veut plus de l'image "bling-bling" qui lui colle à la peau. Exit la Rolex outrageusement omni-présente lors du début de son quinquennat mais aussi lors du débat d'entre-deux tours face à Ségolène Royal. Cette passion pour les belles montres que le publicitaire Jacques Séguéla avait défendue (avant de faire son mea culpa) avec la désormais célèbre :
"
C'est une erreur journalistique. Comment peut-on reprocher à un président d'avoir une Rolex. Enfin... tout le monde a une Rolex. Si à cinquante ans, on n'a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie!
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