"J'espère d'ailleurs que Martine Aubry n'y sera pas" : le ministre de l'Education nationale, Vincent Peillon, a commis, ce mercredi, un lapsus en souhaitant que "Martine Aubry" au lieu de Marine Le Pen ne soit pas au second tour des législatives à Hénin-Beaumont.
Martine Aubry, euh pardon, Marine Le Pen
Sur lcp.fr
"Et puis il y aura un second tour. J'espère d'ailleurs que Martine Aubry n'y sera pas.
Martine Aubry, euh pardon, Marine Le Pen n'y sera pas".
Le ministre de l'Education nationale, Vincent Peillon, a commis, ce mercredi 23 mai, un lapsu, invité de LCP-AN.
Il a souhaité en effet souhaité que "Martine Aubry" - au lieu de Marine Le Pen - "ne soit pas" au second tour des législatives à Hénin-Beaumont, invité de LCP-AN.
"Il y a au premier tour des candidats du Front de gauche, du Parti socialiste, c'est la règle démocratique à gauche ...
Et puis il y aura un second tour. J'espère d'ailleurs que Martine Aubry n'y sera pas ... Martine Aubry, euh pardon, Marine Le Pen n'y sera pas".
Que pouvait-il se passer à ce moment dans l'esprit de Vincent Peillon ?
Au Lab, on ne peut s'emêcher de relever que Martine Aubry, la patronne du PS, a formulé, mardi 22 mai, des consignes de maintien au second tour des élections législatives, même en cas de triangulaires ... avant que Laurent Fabius ne la contredise, quelques minutes plus tard.
Studio maudit ?
La scène rappelle évidemment le lapsus commis par Pierre Moscovici, durant la campagne de François Hollande.
Souvenez-vous : il avait évoqué le site internet "Tout sauf Hollande", en lieu et place du "toushollande.fr".
Pour la petite histoire, c'était ... exactement dans le même studio :