"Nous n'avons pas hué ni sifflé Cécile Duflot, nous avons admiré", Aurélie Filippetti, "la plus jolie": le député des Hauts-de-Seine, Patrick Balkany, multiplie les jugements sur les femmes politiques, ce mercredi 18 juillet ...
Cécile Duflot : "Nous l'avons admirée"
Sur lefigaro.fr
Nous n'avons pas hué ni sifflé Cécile Duflot, nous avons admiré.
Tout le monde était étonné de la voir en robe.
Elle a manifestement changé de look, et si elle ne veut pas qu'on s'y intéresse, elle peut ne pas changer de look.
D'ailleurs, peut-être avait-elle mis cette robe pour ne pas qu'on écoute ce qu'elle avait à dire.
Patrick Balkany, et de deux.
Interrogé par LeFigaro.frà propos de la polémique née de la robe portée par Cécile Duflot, le député des Hauts-de-Seine assure qu'il ne fallait y voir aucun machisme.
Enfin, on peut regarder une femme avec intérêt sans que ce soit du machisme.
Filippetti ? "C'est la plus jolie"
Sur streetpress.com
Caméra à la main, Streetpress est allé interroger les députés sur l'adversaire politique avec lequel, ou laquelle, ils envisageraient de passer des vacances. Le site publie leurs réponses dans une vidéo mise en ligne le 18 juillet.
Et à cette question, Patrick Balkany, député UMP des Hauts-de-Seine, annonce le nom de la ministre de la Culture :
Avec Aurélie Filippetti.
Parce que c'est la plus jolie.
Pour aller où ? Le député des Hauts-de-Seine a déjà sa petite idée :
Où elle veut.
Et de suggérer une idée de destination :
A Venise.
C'est une femme de culture.
Aurélie Filippetti également citée par Patrick Ollier, qui explique que "c'est plus agréable de partir avec quelqu'un qui a du charme".
A gauche, c'est avec François Fillon que Michel Terrot (Rhône) et Marie-Odile Bouillé (Loire-Atlantique) envisageraient de passer des vacances.
Lionnel Luca, député des Alpes-Maritimes, lui ne se mouille pas :
Je ne le fais pas avec des personnalités de droite.
Je n’ai aucune raison de cultiver le masochisme.
Les députés pourraient avoir de longues vacances - du 2 août au 24 septembre - comme l'expliquait Le Lab, le 13 juillet dernier. En cause : un manque de textes à examiner.