Quand Francois Hollande et Angela Merkel devisent du talent de Franck Ribery

Publié à 22h18, le 06 février 2013 , Modifié à 22h48, le 06 février 2013

Quand Francois Hollande et Angela Merkel devisent du talent de Franck Ribery
François Hollande et Angela Merkel, le 6 février, sur TF1. (Capture d'écran)

L'amitié franco-allemande en prime-time sur TF1. Le président français et la chancelière allemande, interrogés pendant la mi-temps du match amical France-Allemagne, au Stade de France, ce mercredi 6 février, n'ont pas tari d'éloges sur Franck Ribéry le milieu de terrain français, jouant en Allemagne. 

Angela Merkel est conquise : 

Je l'ai vu ce soir, il a dit lui même qu'il se sentait très bien en Allemagne mais il est très heureux de jouer avec l'équipe de France, on le voit bien.

Et c'est lui qui a été à l'origine du but qui a été marqué.

Après, il va rentrer au Bayern [de Munich].

François Hollande semble même faire un parallèle entre le sport et la politique quand il parle de la star tricolore jouant outre-Rhin : 

Il a fait en sorte que, connaissant bien les Allemands, il puisse contribuer au but.

Donc de ce point de vue là je veux le saluer.

Il a bien compris ce qu'était le jeu allemand pour bien faire marquer l'équipe de France. 

A la mi-temps, le score était de 1 à 0 en faveur de la France, au terme de 45 premières minutes de jeu "équilibré", selon la formule de François Hollande.

Angela Merkel, qui venait au Stade de France pour la première fois, a dit souhaiter pour la deuxième période "que la partie reste passionnante" et "qu'il y ait des buts côté allemand, bien sûr".

"Tout cela est aussi passionnant qu'un Conseil européen, largement !", a-t-elle conclu en référence à la réunion du Conseil européen de jeudi et vendredi à Bruxelles consacré au budget de l'Union où les discussions s'annoncent ardues.

Le thème était justement au coeur de l'entretien de travail d'une demi-heure entre Angela Merkel et François Hollande qui s'est tenu avant la match dans un salon aménagé dans le stade

[Bonus track] La blagounette du président. Il ne peut pas s'en empêcher.

J'apprécie beaucoup la chancelière parce qu'elle aime le football. Et ça se voit.

Elle encourage son équipe autant qu'elle peut et je pense qu' il faut s'en méfier -  pas de la chancelière, hein. De l'équipe d'Allemagne - jusqu'au bout.

 A lire aussi sur Le Lab : 

> Quand Hollande se souvient de la "douloureuse" demi-finale de 1982

Du rab sur le Lab

PlusPlus