Skâândal : la présidentielle en jeu de cartes

Publié à 14h20, le 26 mars 2012 , Modifié à 14h20, le 26 mars 2012

Skâândal : la présidentielle en jeu de cartes
Des cartes de Skâândal. (Ludikif)

La course à l'Elysée prend des allures de compétition. Tous les coups, ou presque, sont permis. Une entreprise d'édition de jeux de société a voulu en profiter et mettre cela en jeu de cartes. Résultat : Skâândal. Un divertissement où vous pouvez incarner Nico Circus, Dom Niquelenain, Anchois aux Landes, Tartine ou encore Marlène Lépine.

  1. Un mille bornes politique

    Sur letelegramme.com

    Avancer le plus vite possible et mettre des batons dans les roues de ses adversaires. Une campagne électorale, cela ressemble aussi à ça. Et les moyens sont nombreux : avion privé, délit d'initiés, financement occulte, … Tout cela a été reproduit en un jeu de cartes. 

    Skâândal est un jeu de cartes humoristique inventé par deux Bretons, relaie Le Télégramme. Une sorte de Mille bornes politique, où le but est de gagner des points de popularité. Pour cela, tous les coups sont permis : alliances improbables, révélations de scandales et défense par des avocats. 

    Et les joueurs peuvent incarner différents mouvements politiques, de “l’ultra-gauche, à l’ultra-droite”, selon les termes du jeu. Jusqu’à 6 joueurs, le jeu exige des coalitions pour l’emporter. 

    Coloré et avec des caricatures, le jeu s’appuie sur des personnalités politiques existantes facilement reconnaissables. Les références politiques vont jusqu’au dos de l’étui sur lequel l’éditeur a fait ajouter : “toute ressemblance avec des faits d'actualité est purement abracadabrantesque !”.

  2. Casse-toi pov con, le jeu

    Sur lejdd.fr

    Une autre société éditrice de jeux de société a également profité de l'engouement pour la politique. Avec l'aide du dessinateur Vidberg, Cocktail Games a sortie un jeu au nom évocateur : Casse-toi pov'con…

    LeJDD.fr présente le jeu : 

    Le principe du jeu est le suivant : confrontés aux incontournables bains de foule, des candidats en campagne doivent maîtriser leur niveau de stress et à tout prix éviter de crier un "Casse-toi pov con!" qui pourrait se révéler désastreux pour leur cote de popularité. 

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