Un an de Matignon pour la discrète Brigitte Ayrault

Publié à 07h55, le 13 mai 2013 , Modifié à 08h00, le 13 mai 2013

Un an de Matignon pour la discrète Brigitte Ayrault
Brigitte et Jean-Marc Ayrault en novembre 2012 (Maxppp)

#CONFESSIONS - Ce 13 mai, Presse Océan consacre une double page à la très discrète Brigitte Ayrault, épouse du Premier ministre depuis 42 ans. Cette ancienne prof de français qui se revendique anti bling-bling livre quelques anecdotes, sans jamais en dire trop.

> Jean-Marc, l'indispensable

De son mari, Brigitte Ayrault ne dit bien entendu que du bien. Un homme "serein, sûr de sa ligne politique", qui n'est pas "déstabilisé par les attaques" et à qui les rumeurs de changement de chef de gouvernement importent peu :

Il sait que ce qu'il a semé germera. (...)

Il est courageux, il fait le travail, il est loyal. Je le crois indispensable à François Hollande.

> #viedecouple

Alors qu'on lui demande si elle a réussi à "préserver sa vie privée" malgré l'emploi du temps de ministre, Brigitte Ayrault parle de leurs "échappées belles" artistiques :

J'ai beaucoup réfléchi pour savoir où mettre le curseur entre vie personnelle et vie publique. Comment conserver une harmonie dans notre vie de couple ...

Nos échappées belles sont souvent vers l'art. Quand l'agenda nous le permet, nous allons voir des expos ou un film ; c'est notre bouffée d'oxygène.

> Des graffitis à Matignon

Où l'on apprend que l'épouse du Premier ministre est grande amatrice d'art et plus particulièrement de street art. Elle a donc décidé d'égayer les murs old school de Matignon avec les oeuvres de Alain-Dominique Gallizia, spécialiste du graffiti.

Selon Press Océan, on trouve ces graffs un peu partout : dans le bureau de Brigitte Ayrault mais également dans les salons de réception et le hall d'accueil.

Ils donnent à Matignon un look un peu plus moderne et ouvert.

> La réponse à Madame V.

En juin 2012, l'épouse de Manuel Valls, Anne Gravoin, avait eu des mots peu aimables à l'égard de Brigitte Ayrault lors d'une interview au Parisien, estimant qu'être musicienne était "un peu plus glamour que Madame Ayrault, prof d'allemand dans la banlieue de Nantes".

Interrogée sur ce moment "désagréable", l'épouse du Premier ministre explique qu'elle n'a pas voulu "polémiquer"à l'époque :

C'était faux, je suis prof de français, et injuste, mais j'ai refusé de polémiquer. Nous nous sommes revues depuis, c'est anecdotique.

>> L'intégralité de l'interview est à retrouver dans Presse Océan ce 13 mai.

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