POINT AGENDA - Valérie Trierweiler sera le 30 mai à Genève, en tant qu'ambassadrice de la fondation France-Libertés, pour une intervention au siège des Nations-Unies sur les viols et les massacres qui se déroulent à l'est de la République démocratique du Congo (RDC), au Kivu .
Après une participation au Grand Journal de Canal Plus, fin mars, pour sensibiliser le grand public à la trisomie 21 et une "visite humanitaire" au Nord du Mali, mi-mai, celle qui accepte désormais qu'on la désigne comme "la Première Dame" a rendez-vous en Suisse pour une autre cause.
Selon les informations du Lab, l'ambassadrice de la Fondation Danielle-Mitterrand-France-Libertés sera jeudi 30 mai au Palais des Nations, à Genève, au siège européen de l'ONU, pour participer aux débats sur les violences sexuelles en RDC.
Une intervention à l'occasion de la 23ème Session du Conseil des Droits de l'Homme, co-organisée par la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme(FIDH), en présence de la mission permanente de la France auprès des Nations-Unies à Genève .
Le témoignage d'un médecin - envoyé par la fondation France-Libertés - rentrant du Nord-Kivu, un débat et la projection d'un film sur la situation sont également prévus.
Fin décembre 2012, la compagne du président de la République signait une tribune sur ce thème . Ce texte, intitulé "Au Kivu, on viole et on massacre dans le silence", était co-signé par Jacques Chirac, Robert Badinter, Yamina Benguigui, ministre déléguée à la Francophonie, Abdou Diouf, ancien président du Sénégal ou encore Muhammad Ali, le boxeur légendaire.
A lire aussi sur Le Lab :
> Matignon fait remarquer que Valérie Trierweiler coûte moins cher à l'État que Carla Bruni