Flop Hebdo : Hervé Mariton compare les propositions de ses adversaires, sujet le moins lu de la semaine

Publié à 17h38, le 26 octobre 2014 , Modifié à 17h38, le 26 octobre 2014

Flop Hebdo : Hervé Mariton compare les propositions de ses adversaires, sujet le moins lu de la semaine
© Montage via Maxppp et Reuters

#FLOPHEBDO - Vous avez bien entendu lu notre Top hebdo de la semaine. Voici comme chaque dimanche le Flop hebdo, le classement des sujets les moins lus de la semaine.

Le Lab a décidé de vous laisser une seconde chance. Découvrez les 5 articles qui n’ont intéressé personne cette semaine avec, en tête, Hervé Mariton comparant lui-même les propositions de ses concurrents à l'UMP.

#LUNDI 20 OCTOBRE

Reuters et Maxppp



Petite leçon d'histoire dans un post de blog du président socialiste de la commission des lois, Jean-Jacques Urvoas. Il y raconte les manœuvres politiques de l'impératrice Cixi au début du XXe siècle en Chine, "en apparence absente du cœur politique mais en permanence à la manœuvre pour peser sur l'orientation de l'empire". Un cours d'histoire pour mieux décrire la stratégie de ... Martine Aubry.

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#MARDI 21 OCTOBRE



Puisqu'il n'y aura pas de débat entre les trois candidats à la présidence de l'UMP, Hervé Mariton a décidé de prendre les choses en main en élaborant un document de comparaison entre ses propositions, celles de Bruno Le Maire et celles de Nicolas Sarkozy. Il assure que son travail est "complet" et "fair-play" et invite ses concurrents à le compléter si besoin.

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#MERCREDI 22 OCTOBRE

Rien n'est trop beau pour soutenir son mentor, Xavier Bertrand, et ce même si Gérald Darmanin a accepté d'être le porte-parole de Nicolas Sarkozy pour la présidence de l'UMP. Voici donc comment il décrit celui qui est déjà candidat à la primaire de 2017 :

Chez Xavier Bertrand, il y a un côté Sarkozy - rentre-dedans, populaire, méprisé par les élites - et un côté Mitterrand - il est prêt à multiplier les réunions au fin fond de la France.

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#JEUDI 23 OCTOBRE

Reuters et Maxppp



La possibilité de changer le nom du Parti socialiste, envisagée par Manuel Valls, a été mal reçue à gauche. Notamment par Michèle Delaunay. L'ancienne ministre a ainsi répondu à Manuel Valls :

Il n'y a que les partis faibles comme ceux qui se sont appelés UDR, RPR, UMP, UDT - vous voyez le parti auquel je pense ? - qui changent à chaque fois qu'ils changent de leader en quelque sorte.

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#VENDREDI 24 OCTOBRE

L'art du bon mot. En plein désordre au sein de la majorité, Jean-Christophe Cambadélis a trouvé la formule adéquate :

J'aimerais dire une chose aux socialistes : PS, cela veut dire Parti socialiste ... et pas PlayStation. Il ne s'agit pas de descendre le maximum de socialistes en moins de temps possible."

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