Jean-Luc Mélenchon jubile. Alors qu’un bras de fer s’est engagé à Bruxelles sur le plan d’aide à la Grèce, symbolisé par l’affrontement entre la ligne dure d’Angela Merkel et la volonté de trouver une solution "à tout prix" de François Hollande, l’eurodéputé Front de gauche rappelle ce dimanche 12 juillet que, selon lui, "le problème en Europe, c’est l’Allemagne de Merkel". Et de parler d’un "Merkxit" plutôt qu’un "Grexit".
L’occasion pour lui, proche du premier ministre grec et de Syriza, de faire un peu de pub pour son livre-pamphlet contre l’Allemagne "Le Hareng de Bismarck", via deux tweets, en mode "je vous l’avais bien dit" :
Plutôt que de parler #Grexit, et si on parlait plutôt #Merkxit ? Le problème en Europe, c'est l'Allemagne de #Merkel. pic.twitter.com/nqy6kbABic
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 12 Juillet 2015Alors? Qui avait raison sur l'#Allemagne? Où sont passés les bisounours effarouchés? Pour un rapide rattrapage: «Le Hareng de Bismarck», 10€
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 12 Juillet 2015Auparavant, sur son blog, Jean-Luc Mélenchon avait dénoncé un "coup d’Etat contre Tsipras" et "l’arrogance du gouvernement allemand" . Et d’en profiter pour fustiger les "bisounours" qui "flétrissaient (sa) prétendue germanophobie" . "Dans le style de Cécile Duflot", ajoute-t-il. SYM-PA. Surtout que Cécile Duflot aussi s'en est prise, ce dimanche, à la chancelière allemande, lui lançant dans trois langues un "maintenant ça suffit" .
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