Nicolas Sarkozy est de plus en plus fan d'Internet et des outils politiques qu'il pourrait en tirer. Surtout parce qu'Internet, "ça coûte zéro centime". Comme le révèle un confidentiel dans le JDD du 15 janvier, le successeur de Jean-François Copé à la tête de l'UMP envisage de créer une plateforme de mini-sondages en ligne afin de consulter rapidement les militants sur des sujets précis, en reprenant le modèle de certains sites d'informations. Voici comment il justifie sa démarche :
Comme ça, on saura vraiment ce que les militants pensent.
Une sorte de sondage gratuit qui pourrait permettre d'éviter les couacs de communication dans son parti, comme lors du fameux "ni-ni"pour l'élection partielle dans le Doubs. Par ailleurs, comme pour prouver sa nouvelle passion pour le net, Nicolas Sarkozy avait choisi de choyer ses "amis" Facebook, même s'il fait encore des confusions sur le sujet, en recevant son millionième fan au siège du parti.
Attention tout de même parce que UMP et vote électronique n'ont pas toujours été amis jusque-là.