FOOTPOLITIQUE - C'est une astuce que François Hollande apprécie : le double message dans un commentaire sportif. Déjà lors de la qualification de l'équipe de France pour le mondial face à l'Ukraine mi-novembre, le chef de l'Etat avait joué de la métaphore footbalistico-politique. Rebelote ce 15 juin au soir, quelques minutes avant le premier match de la France dans cette Coupe du monde, face au Honduras.
Interviewé en duplex par TF1, depuis une salle de l'Elysée dans laquelle il a invité les familles du personnel de l'Elysée à assister aux matches de la France, François Hollande parle donc football. Mais pas seulement, lisez plutôt :
Le premier match, celui qui va déterminer l'ambiance, c'est celui contre le Honduras. Je souhaite que cette équipe (...) soit unie, solidaire et son entraineur est à mon avis le bon. (...)
Didier Deschamps a fait des choix, il faut en faire. Il a une ligne, il faut en avoir une (petit rire de François Hollande). Et il a pris ses risques, il faut les prendre.
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