Ce que dit Valérie Trierweiler de Cécilia Attias

Publié à 19h05, le 18 juillet 2013 , Modifié à 19h08, le 18 juillet 2013

Ce que dit Valérie Trierweiler de Cécilia Attias
(Reuters)

BIM - Quelle place pour Valérie Trierweiler autour du président de la République ? La question se pose depuis l'investiture de François Hollande. S'il y a bien un modèle que la compagne du chef de l'Etat ne souhaite pas suivre, c'est celui de Cécilia Attias.

C'est ce que l'on apprend dans Le Nouvel Observateur du 18 juillet, qui lui suggère l'ex-épouse de Nicolas Sarkozy comme exemple. La réponse est tranchée : 

Non, tout ce que je fais, je le fais par moi-même.

Une référence assez claire à la libération des infimières bulgares. Dans cette affaire, en 2007, Cécilia Attias avait été l'envoyée spéciale de Nicolas Sarkozy en Libye pour contribuer à faire libérer les cinq infirmières coincées dans une procédure diplomatico-judiciaire depuis 1999.

Le modèle de Valérie Trierweiler serait plutôt Danielle Mitterrand. Elle laisse de côté sa profession de journaliste et se consacre de plus en plus à l'action caritative. La compagne de François Hollande est devenue l'ambassadrice de l'association France Libertés, lancée par l'ex-épouse de François Mitterrand. 

Mais l'article du Nouvel Obs raconte aussi l'influence "discrète, mais réelle", de la première dame. Alors des ministres essaient de s'en rapprocher, mais Valérie Trierweiler fait surtout confiance aux hollandais historiques et à certains ex-ségolénistes ralliés, explique l'hebdomadaire. 

Pour les autres, c'est plus compliqué : 

Un ministre du gouvernement voulait absolument que je l'admette dans ma délégation lors d'un déplacement présidentiel. Mais je ne l'aime pas, alors j'ai refusé. 

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