Dépénalisation du cannabis : ce n’était pas Peillon le ministre, mais Peillon le philosophe

Publié à 11h47, le 16 octobre 2012 , Modifié à 11h47, le 16 octobre 2012

Dépénalisation du cannabis : ce n’était pas Peillon le ministre, mais Peillon le philosophe
Vincent Peillon, sur France Inter. (Capture d'écran)

Après avoir été recadré par Jean-Marc Ayrault, Vincent Peillon a justifié sa sortie sur la dépénalisation du cannabis comme étant une position "personnelle". Celle de Vincent Peillon le philosophe. Nuance.

Non, ce n’est pas Vincent Peillon le ministre de l’Education qui, dimanche, s’est exprimé favorablement sur l’ouverture d’un débat sur la dépénalisation du cannabis. 

Si le ministre lui-même s’est justifié en avançant la thèse de la position personnelle, un de ses conseillers va plus loin dans le Parisien. Pour ce proche, "c’est du Peillon tout craché" : 

Ce n’est pas le ministre qui répond mais le philosophe qui donne son avis sur un sujet de société …

Un philosophe rapidement recadré

 

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