Henri Guaino estime qu'à cause de François Hollande, Valérie Trierweiler est "humiliée devant le monde entier"

Publié à 09h53, le 15 janvier 2014 , Modifié à 09h56, le 15 janvier 2014

Henri Guaino estime qu'à cause de François Hollande, Valérie Trierweiler est "humiliée devant le monde entier"
Henri Guaino sur i>Télé le 15 janvier 2014 (image i>Télé).

Promis, Henri Guaino ne veut pas s'engager sur le terrain de la vie privée. Mais il a tout de même un avis dessus. Invité de i>Télé ce 15 janvier, le député UMP des Yvelines a regretté que la relation prêtée à François Hollande avec l'actrice Julie Gayet ait un impact négatif sur son image de président, tout particulièrement à l'international.

Il a également estimé qu'il avait "humilié" Valérie Trierweiler :

Regardez sa compagne, Valérie Trierweiler. En faisant ce qu’il a fait, elle est humiliée devant le monde entier. Parce qu’il est président !

Ben oui on ne se promène pas en scooter avec un casque pour aller voir sa maitresse la nuit quand on est président!

Il faut toujours s’attendre à l’époque où nous vivons à ce qu’un journaliste un photographe, nous pourchasse.

Celui qui fut conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, et qui continue d'être en première ligne pour le défendre, tient à souligner une "ironie de l'histoire" :

Quand on se souvient des commentaires à propos de la vie privée de Nicolas Sarkozy qui n’en avait d’ailleurs pas plus dit, qui a traversé des moments douloureux ...

Quand on se souvient des quolibets, des insultes, des amis de Monsieur Hollande et de Monsieur Hollande lui-même … l’ironie de l’histoire est qu’il se retrouve dans une situation bien pire du point de vue de sa fonction que ne s’était trouvé Nicolas Sarkozy.

Nicolas Sarkozy avait divorcé en début de quinquennat. Après sa rencontre avec Carla Bruni, il avait décidé de communiquer sur ce pan de sa vie privée lors, justement, d'une conférence de presse semblable à celle du 14 janvier. Il expliquait alors ne pas avoir envie qu'on prenne une photo de lui "au petit matin, glauque".

Du rab sur le Lab

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