Jean-Christophe Cambadélis vole au secours de Jean-Marc Ayrault: "le premier ministre n'est plus un fusible mais un punching-ball"

Publié à 13h20, le 01 avril 2013 , Modifié à 15h09, le 01 avril 2013

Jean-Christophe Cambadélis vole au secours de Jean-Marc Ayrault: "le premier ministre n'est plus un fusible mais un punching-ball"
Jean-Christophe Cambadélis et Jean-Marc Ayrault en 2009 à la Rochelle (Maxppp).

On connaît bien Jean-Christophe Cambadélis pour les mauvais points qu'il distribue. Moins pour ses envolées lyriques en soutien à ses collègues de la majorité. 

Dans un billet de blog intitulé "Touche pas à mon Premier ministre", et publié ce lundi matin, le député de Paris vole au secours de Jean-Marc Ayrault. Il s'offusque des nombreuses réactions après 

Tout cela parce que deux journalistes ont rendu compte des vestiaires du gouvernement et mis bout à bout avec l'absence de citation du Premier ministre dans l'intervention présidentielle.

Si comme dans le sport, ce qui compte, c'est le terrain et pas le vestiaire, l'autorité d'une politique ne se juge pas à l'aune des citations.

Jean-Christophe Cambadélis en rajoute dans la métaphore sportive :

Sous le quinquennat le Premier ministre n'est plus un fusible mais un punching-ball.

Jean-Christophe Cambadélis défend ensuite "la marque Ayrault": une garantie de dialogue selon lui, dont l'accord sur la sauvegarde de l'emploi serait la marque. 

Du rab sur le Lab

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