COMPARAISON N’EST PAS… - Les envolées lyriques et la voix chevrotante d’Henri Guaino ne plaisent pas toujours. Et suscitent de nombreuses moqueries. A gauche, évidemment, comme à droite.
Ainsi, dans un confidentiel de Challenges, daté du 4 avril 2013, Jean-Pierre Raffarin n’épargne pas le député UMP des Yvelines.
Pour le sénateur de la Vienne, pour qui l’UMP n’est actuellement "pas prête à gouverner", Henri Guaino se prend pour d’autres que lui. Et pense, avec ironie, que le suivant sera… Barack Obama.
Hier, Henri Guaino se prenait pour André Malraux, maintenant pour de Gaulle.
Demain, ce sera Obama.
Conscient des critiques émises contre ses envolées à référence historique, l’ancienne plume de Nicolas Sarkozy à l’Elysée confessait, le 1er juin en pleine campagne législative, au Point :
J'ai un défaut : des intonations à la Malraux.