BEST-OF HEBDO – C’est samedi, c’est top hebdo. Comme chaque samedi, et avant le rendez-vous incontournable du Flop Hebdo du dimanche, le Lab vous propose de retrouver les articles les plus lus de la semaine avec, en numéro un ce 26 septembre, Marion Maréchal-Le Pen qui réagit à la nomination de Yannick Noah à la tête de l’équipe de France de Coupe Davis.
#1 – "Ce serait bien qu'il puisse revenir payer ses impôts en France"
Si une personnalité énerve particulièrement le Front national, c'est bien Yannick Noah. D'ailleurs, il faisait partie des cibles de Jean-Marie Le Pen lorsqu'il avait proposé de faire une "fournée" concernant les artistes anti-FN. Nommé, à nouveau capitaine de l’équipe de France de Coupe Davis, l’ancien tennisman est tombé dans le viseur de Marion Maréchal-Le Pen qui estime que "ce serait bien qu'il puisse revenir payer ses impôts en France avant de se remettre au tennis".
[A LIRE ICI ]
#2 – "Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire"
"Les Français se reconnaissent dans ce discours de vérité qui est tenu par le Front national", "c'est le premier parti de France"... Après un décollage plus que poussif à la tête du Grand Journal depuis la rentrée, Maïtena Biraben est au cœur de sa première polémique. Mais en reprenant les éléments de langage du parti d'extrême droite, la journaliste a tout de même fait des heureux... au FN bien sûr. L'ensemble des cadres du parti frontiste ont ainsi réagi à cette sortie de Maïtena Biraben, ici pour lui apporter leur "soutien", là pour dénoncer un "lynchage", là encore pour estimer que "toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire".
[A LIRE ICI ]
#3 – C’est un fake, et alors ?
Elle fait partie des nouveaux visages du Front national entrés au Parlement européen en juillet dernier. Mylène Troszczynski s'est illustrée le 23 septembre par la diffusion d'un photomontage mensonger, repéré et décortiqué par Les Décodeurs du Monde.
[A LIRE ICI ]
#4 – Joue pas, pas avec moi
Garder le sourire, faire des petites blagues au sujet de son ministre préféré, pourquoi pas. Mais il y a des limites à ne pas franchir aux yeux de Manuel Valls pour préserver la fonction de Premier ministre. Ainsi, lorsque dans Des paroles et des actes sur France 2 le 24 septembre au soir, le journaliste lui propose de se prêter à une séquence plus "légère" en toute fin d'émission, il se voit opposer une fin de non-recevoir très sèche de la part du chef du gouvernement.
#5 – Tout faire "pour empêcher le FN de gagner"
Front républicain or not front républicain ? C'est une question à laquelle Manuel Valls ne souhaite visiblement pas répondre dans l'immédiat. Invité de Des paroles et des actes sur France 2 le 24 septembre et interrogé sur ce point, le Premier ministre s'est montré assez vague - au motif qu'il ne voudrait pas entrer dans la "cuisine électorale" - et a évité d'utiliser les mots "front républicain" ou "désistement". Pourtant, il a également érigé en principe l'idée de "tout faire pour empêcher le FN de gagner".
[A LIRE ICI ]