CLIN D'OEIL - "Je reconnais avoir de l’argent à l’étranger, j’ai été pris dans la spirale du prêt solidaire et en éprouve aucun regret". C'est une phrase parodique apparaissant comme l’antithèse des aveux de Jérome Cahuzac, qui déclarait sur son blog détenir "à l’étranger un compte bancaire, (avoir) été pris dans une spirale du mensonge, (être) dévasté par le remords".
Babyloan, une société de crowdfounding, comprendre financement participatif, profite de l'affaire Cahuzac pour détourner le thème de l'évasion fiscale à son profit.
Et partage, dans un tweet posté ce mercredi 3 avril, une affiche reprenant les aveux détournés de l'ancien ministre délégué au Budget :
Je reconnais avoir de l'argent à l'étranger, j'ai été pris dans la spirale du prêt solidaire ! #Cahuzactwitter.com/babyloan/statu…
— Babyloan (@babyloan) 3 avril 2013
Les derniers évènements détournés: l'élection du pape, la crise à l'UMP, ou encore la campagne présidentielle de Sarkozy