Cet hiver, c'était certain, la chancelière allemande devait tenir des meetings communs pour soutenir la réélection de Nicolas Sarkozy. Et puis, en fait, le printemps est venu mais pas la chancelière.
Alors, selon Le Parisien, les allemands ont le nom du fautif : Henri Guaino, conseiller spécial et plume de Nicolas Sarkozy.
Le conseiller spécial VS la chancelière
Sur leparisien.fr
Invité d'Europe 1 en février, Henri Guaino s'est clairement démarqué de la "germanomania" ambiante dans son parti.
Qu'elle intervienne dans le débat public sur les questions qui concernent l'Europe, les rapports entre la France et l'Allemagne, je trouve ça tout à fait légitime.
Dans la campagne présidentielle elle-même, je suis plus réservé.
Un mois plus tard, Le Parisien écrit :
Dans l’entourage d’Angela Merkel, on soupçonne fortement Henri Guaino d’être à l’origine du « non merci » opposé à Angela Merkel, qui avait envisagé de venir soutenir le candidat Nicolas Sarkozy dans un de ses meetings de campagne.
Une relation franco-allemande compliquée
Sur lelab.europe1.fr
Le Lab vous propose de lire ou relire deux de nos articles sur Angela Merkel :