Quand Trierweiler confie à des enfants qu'elle regrette de "perdre un peu de sa liberté"

Publié à 22h19, le 19 décembre 2012 , Modifié à 22h33, le 19 décembre 2012

Quand Trierweiler confie à des enfants qu'elle regrette de "perdre un peu de sa liberté"
Valérie Trierweiler et François Hollande, le 19 décembre 2012 à Alger. (MaxPPP)

CE REVE BLEU - Valérie Trierweiler se confie à des enfants algériens. La journaliste visitait ce mercredi 19 décembre une école à Alger en marge de la visite d'Etat de François Hollande. 

"Qu'est ce que cela fait d'être la compagne d'un président ?" l'a interrogé un enfant de l'école primaire Alexandre Dumas, cité par l'AFP.

Réponse de celle qui communique de plus en plus :  

Je suis la compagne de François Hollande avant d'être celle du président.

C'est de l'homme [que] je suis tombée amoureuse, pas d'un président.

Carla Bruni-Sarkozy ne disait pas autre chose de sa rencontre avec Nicolas Sarkozy, dans les pages de Vogue en décembre:

J'ai été attirée par lui tout de suite. Pour moi, le fait qu'il soit président, c'était anodin.

Lors de cette rencontre avec les enfants , Valérie Trierweiler a jugé son rôle "compliqué", répétant qu'il n'était "pas défini" et qu'il lui revenait "d'en faire ce qu'elle veut".

Deux autres questions d'enfants relevés par l'AFP :

Qu'est-ce que cela fait d'être Première dame?

Ça fait très peur au début. On ne sait pas ce qu'il faut faire. Ensuite, on apprend, comme vous à l'école.

Les avantages et les inconvénients de sa situation?

L'avantage, c'est d'être là aujourd'hui, de pouvoir voyager.

L'inconvénient, c'est de perdre un peu de sa liberté,d'abandonner un peu de ce que l'on est soi-même.

Du rab sur le Lab

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