POINT TWEET - Le fils de François Hollande règle très sévèrement ses comptes avec la compagne de François Hollande, dans un entretien à paraître dans Le Point, ce jeudi 12 juillet.
[EDIT, 20H] Thomas Hollande a affirmé mercredi soir à l'AFP que ses propos avaient été "déformés" par Le Point
"Et surtout pas de deuxième tweet !"
Sur Le Point
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Je savais que quelquechose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup.
C'est hallucinant.
"Oublieés les allusions, cette fois Thomas Hollande expose directement ses reproches à la compagne de son père, Valérie Trierweiler.
Le fils de François Hollande et Ségolène Royal reproche *très* sévèrement à la nouvelle compagne de son père le "tweet" de soutien adressé à Olivier Falorni, candidat dissident qui se présentait contre sa mère, Ségolène Royal, dans la 1è circonscription de Charente-Maritime.
Dans des confidences livrées à une journaliste du Point, publiées dans l'édition à paraître ce jeudi 12 juillet - et dont l'intégralité a été diffusée sur Twitter ce mercredi - il juge ainsi :
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Ce que je reproche au tweet, c'est d'avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique.
"Ce qui ne l'empêche pas de confesser, cependant :
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Ca m'a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée.
"Et il assure même :
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Ca a détruit l'image normale qu'il avait construite.
"Il appelle enfin la compagne de son père à trancher définitivement le flou qui susbsiste sur son rôle :
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Soit elle est journaliste, soit elle a un cabinet à l'Elysée !
"Et menace même :
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Et surtout pas de deuxième tweet !
"Valérie Trierweiler, qui a rendu visite, en fin de semaine dernière, à la veuve de l'un des soldats français tué en Afghanistan, à Calais, continue à publier des chroniques dans Paris Match.
Dans ce court article, Thomas Hollande raconte encore l'avenir qu'il souhaite pour sa mère - donnée, depuis sa défaite aux législatives, à plusieurs postes différents :
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Ministre, pourquoi pas, dans quelques mois : en politique, on n'est jamais mort.
"[Mise à jour 20H] Le fils du président a fait savoir à l'Agence France Presse en début de soirée mercredi soir que ses propos auraient été "déformés" :
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Je démens avoir accordé une interview au Point.
Les propos rapportés, dont certains sont déformés ou sortis de leur contexte, ont été tenus lors d'une conversation informelle.
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