LA SEMAINE DU LAB - Chaque dimanche, Le Lab prend l’antenne sur Europe 1 pour un condensé des faits politiques de la semaine. Ce 1er février, Aurélie Marcireau revient sur une semaine marquée par le bras-de-fer entre Gérard Larcher et Claude Bartolone, la remise de prix agitée d'un prix politique à un élu FN et les ressorts d'humour insoupçonnés de la loi Macron.
La chronique de la rédactrice en chef du Lab est à réécouter ci-dessous :
>> Larcher coupe le cordon avec Bartolone
"Je suis pour la fin du bicamérisme". La petite phrase prononcée par le président de l'Assemblée nationale à la radio a déclenché une véritable tempête au Sénat, pourtant peu enclin aux coups de fièvre. "Il n'est plus possible" de travailler avec mon homologue, a immédiatement grondé Gérard Larcher, le patron UMP de la chambre haute du Parlement.
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>> La justification "mesurée" de Marion Maréchal-Le Pen
Non, vraiment, la petite fille de Jean-Marie Le Pen ne voit pas le problème. "J'ai trouvé ma réaction plutôt mesurée", a expliqué la députée sur France Culture, à propos de ses propos menaçants ("On va vous avoir, mais quand ça va arriver, ça va vraiment vous faire mal") à l'adresse du journaliste Gilles Leclerc.
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>> Après la "loi du siècle", la "loi du sexe"
La loi Macron est d'inspiration libérale, pas libertine, contrairement à ce que semble imaginer Gérard Accoyer, auteur d'un lapsus éloquent lors des débats parlementaires.
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