TOP HEBDO – Dans cette semaine marquée par la garde à vue, la mise en examen et l’interview de Nicolas Sarkozy sur TF1 et Europe 1, le sujet le plus lu de semaine sur Le Lab est le recadrage de l’ancien président par Jean-Louis Debré.
Voici le détail :
>> Lundi 30 juin : Pour Aurélie Filippetti, "on a tous un peu d'Algérie en nous"
Lundi, sur RMC – BFMTV, la ministre de la Culture revient sur la polémique lancée par Marine Le Pen sur la double nationalité après les incidents survenus à la suite de la qualification de l'Algérie en huitièmes de finale de la Coupe du monde. Aurélie Filippetti se concentre sur les côtés positifs de cette qualification des Fennecs. Et répond ainsi à la présidente du FN :
La France a une histoire particulière avec l'Algérie. On a tous un petit peu d'Algérie en nous.
>> Mardi 1er juillet : Nicolas Sarkozy placé en garde à vue
Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue mardi 1er juillet dans les locaux de la police judiciaire de Nanterre, dans les Hauts-de-Seine. Il en est ressorti mis en examen dans la nuit, vers 2 heures du matin. L’ex-président a été mis en examen pour corruption active, trafic d'influence actif et recel de violation du secret professionnel.
>> Mercredi 2 juillet : Louis Sarkozy rentre dans le débat
Pour Louis Sarkozy, les choses sont claires : son père est victime d'un acharnement de la justice visant à empêcher son retour sur le devant de la scène. Mercredi 2 juillet, il explique longuement son point de vue sur Twitter.
>> Jeudi 3 juillet : l’étonnant parallèle du bâtonnier de Paris
Pierre-Olivier Sur, bâtonnier du barreau de Paris, s'éelève contre la procédure menée contre Nicolas Sarkozy. Et, pour se faire, il dresse un parallèle entre la garde à vue de l’ex-président et la condamnation à mort du général de Gaulle par Vichy.
>> Vendredi 4 juillet : Jean-Louis Debré corrige sévèrement Nicolas Sarkozy
Invité de l'émission d'Europe 1 Mediapolis, diffusée samedi 5 juillet, le président du Conseil constitutionnel Jean-Louis Debré s’emporte contre les propos de Nicolas Sarkozy sur l'institution qu'il dirige. Se disant "profondément blessé" par les critiques émises par ses proches à son encontre, il a aussi appelé Nicolas Sarkozy à cesser ses attaques contre les juges.