Bruno Le Roux aux hollandais : "Jusque-là, c'était un peu mou, il faut se secouer"

Publié à 15h27, le 22 février 2013 , Modifié à 15h40, le 22 février 2013

Bruno Le Roux aux hollandais : "Jusque-là, c'était un peu mou, il faut se secouer"
Stéphane Le Foll et Bruno Le Roux, en décembre 2011. (MaxPPP)

FIDELITÉ ET RÉSEAUTAGE - Le PS est au pouvoir. Ses clubs, courants,  chapelles et écuries continuent de se multiplier, à l'image de la création de la "Gauche forte"et la "gauche pop". Mais un autre club, "Répondre à gauche", celui des partisans de François Hollande, peine toujours à trouver sa place, en interne, rue de Solférino.

Libération évoque ainsi ce vendredi 22 février dans ses colonnes une "séance de coaching costaud" de 300 hollandais, mardi 19 février, à côté de l'Assemblée, menée par le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll.

Et le quotidien donne la parole à Bruno Le Roux, chef du groupe socialiste à l'Assemblée : 

Ceux qui se réclament de François Hollande ne doivent pas rester spectateurs du changement.

Jusque-là, c'était un peu mou, il faut se secouer.

Même son de cloche, toujours dans Libération, pour le député socialiste de la première circonscription de Côte-d'Or, Laurent Grandguillaume :

Il faut remobiliser les réseaux, mieux nous organiser, être plus offensifs.

Les hollandais ont récemment grogné contre la motion unique pour le congrés de Toulouse et réfléchissent toujours à la mise en place d'un rendez-vous annuel.

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