Il aime faire entendre sa petite musique. Au point de laisser croire à une campagne pour Matignon. Du haut de son perchoir, Claude Bartolone jouit d’une relative liberté de parole. Que ce soit sur les 3% de déficit ou sur la loi sur la transparence. "L’exécutif doit apprendre son métier", confiait-il lors des rencontres Acteurs Publics.
Et, face à la grogne sociale qui attend le gouvernement à la rentée avec la réforme des retraites ou encore le mécontentement au sein des universités, le président de l’Assemblée nationale enchaîne les rendez-vous avec les représentants des organisations syndicales, comme le révèle ce mercredi 17 juillet, le Parisien.
Ainsi Claude Bartolone a-t-il mardi 16 juillet Laurent Berger de la CFDT. Et s’apprête à recevoir ce mercredi 17 juillet, ainsi que le 18 juillet, Thierry Le Paon, patron de la CGT, puis Jean-Claude Mailly, de FO.
Pour continuer de peser un peu plus dans la majorité ?