#QAG - Nouvelle séance de questions au gouvernement ce mercredi à l'Assemblée nationale. Les députés se réunissent pour interpeler le gouvernement sur les questions d'actualité.
Dans les sujets de ce 27 mars, l'intervention présidentielle de jeudi, la manifestation d'opposants au mariage homo et l'actualité internationale pourraient marquer la séance.
Une séance de questions à la veille de l'interview du chef de l'Etat sur France 2, où François Hollande doit expliquer son action.
Parmi les intervenants de ce jour, Laurent Wauquiez, Jean-François Mancel et Jean-Christophe Fromantin.
Suivre le récit de ces questions au gouvernement :
15h55 > Cécile Duflot : "ce n'est pas une politique de petites phrases".
Après une question du député UMP Gilles Lurton, Cécile Duflot décline l'action du gouvernement sur le logement, et explique que plan d'investissement sur cette question.
Mais attaque aussi sur la forme et assure que la "politique du gouvernement n'est pas une politique de petites phrases, qui est une politique d'action, dans ce secteur qui a davantage besoin de pondération que d'inaction et de mauvais esprit".
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15h40 > Pendant ce temps, Vincent Peillon lit la lettre de Carole Delga, députée socialiste.
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Le Monde ? Le Canard enchaîné ? Non, Vincent Peillon lit plutôt la publication d'une députée socialiste, Carole Delga. Le ministre de l'Education nationale consulte pendant la séance de questions au gouvernement la communication de cette élue de Haute-Garonne.
15h31 > Laurent Wauquiez : "vous êtes le Premier ministre du chômage et des impôts".
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Très entouré des députés UMP, Laurent Wauquiez prend la parole pour dénoncer l'action générale du gouvernement. Il reproche à l'exécutif de perdre du temps avec des textes non-prioritaires alors que le chômage augmente :
Avec vous, la France va franchir le record absolu du nombre de chomeurs. Pendant ce temps, nous débattons sur les tripatouillages électoraux.
Et conteste l'action du président de la République et de son gouvernement :
Que faites vous ? Rien. Que faites vous alors que les plans sociaux se multiplient ? Rien. Que faites vous pour les jeunes ? Rien. Vous préférez parler du mariage pour tous ou du droit de vote des étrangers. Vous préférez diviser les Français, au lieu de les unir.
(...)
François Hollande prétendait être le président de la justice, il est aujourd'hui le président du chômage et des impôts. Vous êtes le Premier ministre du chômage et des impôts.
Réponse de Michel Sapin :
Entre la fin 2008 et mars 2010, vous avez eu à annoncer les chomeurs supplémentaires. Je vous appelle à une certaine modestie sur le sujet du chomage, et ç avous irait très bien. Cette question du chômage, elle date de juillet 2008.
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15h20 > Un peu de calme, svp.
Après une question de Guillaume Bachelay, député socialiste, à Arnaud Montebourg, sur son bilan pour l'industrie française, l'Assemblée nationale s'agite.
Les députés de droite huent le ministre du Redressement productif, raille la question et électrise l'ambiance dans l'hémicycle. Ce qui oblige le président de l'Assemblée nationale à un rappel :
Mes chers collègues, je vous rappelle que la séance est télévisée et que les Français nous regardent, essayez de garder un peu le calme.
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Des députés se sont déjà exprimés à ce sujet, considérent que les questions au gouvernement sont un bien mauvais exemple pour les jeunes qui regardent la séance.
15h13 > Les QAG, l'occasion de faire sa revue de presse.
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15h10 > Henri Guaino arrive enfin.
Tout va bien pour le député des Yvelines. Si vous vous étiez fait du souci pour celui qui a séché l'interview prévue sur France 3 avant la séance de questions au gouvernement, sachez qu'il est arrivé dans l'hémicycle vers 15h10. Sans doute une absence due aux embouteillages, comme le laissait entendre Danielle Sportiello, sur France 3.
15h01 > Jean-François Mancel de retour dans l'hémicycle.
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Jean-François Mancel a droit à la première question de la séance pour son retour à l'Assemblée. Le député UMP s'est fait réélire dimanche dans le cadre d'une législative partielle, dans l'Oise.
A l'occasion de sa question, il remet en cause l'attitude du PS face au FN dans sa circonscription. Lors de sa réponse, Alain Vidalies rappelle que le député Mancel "a été exclu du RPR en 1999 pour avoir fait des alliances avec le Front national pour les élections locales"
14h55 >"Sans doute pris dans les embouteillages", comme l'explique Danielle Sportiello, Henri Guaino n'est pas présent pour l'interview prévue sur France 3. Une absence qui n'est pas la première du député des Yvelines.