SECHE TES LARMES - Parmi tous les appels à la ré-con-ci-lia-tion entre les camps Copé et Fillon ce mardi 20 novembre, Rachida Dati, ancienne garde des Sceaux, en guerre ouverte avec François Fillon, fait entendre sa petite musique.
"Le sujet [de la réconciliation] n'est pas leur intérêt personnel mais le respect des militants qui se sont fortement mobilisés" commence l'ancienne ministre de la Justice de François Fillon sur les ondes de France Info avant de lâcher :
François Fillon dit lui même qu'il ne conteste pas les résultats.
Je comprends son amertume, son aigreur. Je comprends la déception.
Tout le monde a cru qu'il allait gagner à plus de 70%...
Maintenant, il faut passer cette petite période.
On a l'obligation d'être rassemblés et de s'opposer à ce gouvernement.
Concernant une éventuelle candidature de François Fillon à la mairie de Paris en 2014, la maire UMP du VIIème arrondissement botte en touche mais formule une critique.
Posez lui la question, je n'en sais rien. Moi, je n'ai jamais su ce qu'il voulait faire.
D'ailleurs même ses proches ne savent pas.
Nous, au moins, on a un avantage, on dit toujours ce qu'on veut faire et où on va...
La veille, lundi 20 novembre, juste après le bref discours de défaite de François Fillon, la député européenne s'était montrée ouvertement critique envers l'ancien premier ministre, estimant "dommage" qu'il ne se range pas explicitement derrière Jean-François Copé.
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