Après Arnaud Montebourg, Manuel Valls. Une marque se proclamant "premier réseau immobiliser à domicile" récidive, ce 23 septembre, dans Libération, dans l'art de la publicité à référence politique. Cette fois-ci, elle s'adresse donc en une du journal (et sur deux autres pages intérieures) au ministre de l'Intérieur. En l'appelant par son prénom, la marque invite Manuel Valls à faire reculer l'insécurité... des projets immobiliers.
Cette publicité, la voici :
A l'ombre de Manuel Valls avait précédé la marinière d'Arnaud Montebourg. Le 7 janvier dernier, Libération affichait également en couverture (et sur deux autres pages), une publicité de ce site de vente d'immobilier. A l'époque, la publicité vendait les mérites d'une entreprise "qui donne envie d'entreprendre".
Ici, Manuel Valls est un prétexte pour faire parler. Mais certaines marques ont pu, par la publicité, faire passer un message beaucoup plus politique. Ainsi, Nutella s'est opposé au projet de taxe sur l'huile de palme du gouvernement dans Le Parisien. Même technique pédago-offensive de Mc Donalds