GUILLOTINE - Valérie Trierweiler se surnomme elle-même Marie-Antoinette selon les confidences faites par un homme qui la connait bien, pour un portrait du Guardian, mis en ligne samedi 10 novembre.
Le quotidien britannique a recueilli les appréciations de Laurent Binet, romancier qui a suivi la campagne de François Hollande, introduit en coulisses par Valérie Trierweiler, pour la rédaction de son livre, Rien ne se Passe Comme Prévu .
L'écrivain commence par dire tout le bien qu'il pense de cette "femme magnifique, très belle, avec beaucoup de classe et un grand sens de l'humour". Une femme qui "pourrait être anglaise, si elle n'était pas aussi impulsive".
Puis Laurent Binet livre une anecdote :
"Elle se moque d'elle-même ... Elle se surnomme "Marie-Antoinette"[la femme de Louis XVI, guillotinée en 1793, ndlr], ce qui, en France, n'est pas franchement flatteur comme vous le savez... [...]
Après le tweetgate , elle m'a dit qu'elle pensait que les journalistes allaient l'envoyer à la guillotine s'ils le pouvaient.
"
Concernant la difficulté de la journaliste de Paris Match à trouver sa place dans le dispositif élyséen, Laurent Binet est catégorique :
"Elle est évidemment frustrée.
Elle ne comprend pas pourquoi elle devrait abandonner son travail pour son concubin.
"
[Bonus] Elizabeth Day, la journaliste du Guardian qui signe ce portrait intitulé "Valérie Trierweiler, les affaires de l'État", s'est exclamée sur Twitter, le 4 octobre : "J'aime Paris, des magasins entiers de cornichons...".
I love Paris. Entire shops devoted to cornichons... yfrog.com/oczlazluj
— Elizabeth Day (@elizabday) Octobre 4, 2012
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