#BESTOFHEBDO - Et voici venue l'heure, comme chaque week-end, de notre attendu Top Hebdo, le classement des articles les plus lus de la semaine sur le Lab.
Cette semaine, c’est le vote des députés pour la levée des sanctions contre la Russie, faute de députés de la majorité en nombre suffisant, qui a retenu votre attention. Mais ce n'est pas tout…
#1 - Un jour, un fail
L’Assemblée nationale s’est prononcée pour la levée des sanctions contre la Russie. Une surprise dans la mesure où les groupes PS et écolo avaient fait savoir qu’ils s’opposeraient à la levée de ces sanctions, mises en place en 2014 après l’annexion de la Crimée par Vladimir Poutine. Ce vote s’explique tout simplement par… un nombre insuffisant de députés de la majorité dans l’hémicycle.
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#2 - "Je vais tous les écrabouiller"
Malgré ses ennuis avec la justice et des sondages peu favorables, Nicolas Sarkozy conserve une immense confiance en lui. Bien que l’ancien chef de l’Etat n’ait pas encore officialisé sa candidature, il n’existe plus aucun doute sur ses intentions de se présenter à la primaire… et de la remporter. "Je vais tous les écrabouiller", a-t-il ainsi lancé à un élu de son parti.
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#3 - "Libre à vous"
Bruno Le Maire, s’il sort vainqueur de la primaire puis de la présidentielle, souhaite faire des économies notamment en fusionnant les assemblées départementales et régionales. Mais en permettant - mesure plus *singulière* - aux départements de contrôler les comptes bancaires des allocataires du RSA afin que les prestations aillent "réellement à ceux qui en ont besoin". Libre aux bénéficaires du RSA de ne pas donner leur relevé bancaire… mais dans ce cas ils ne toucheraient plus le RSA.
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#4 - Moi, Première ministre
Ségolène Royal a une haute opinion d’elle-même. Quand elle ne se juge pas "indispensable" au gouvernement, la ministre de l’Environnement encense les "superbes voeux de Ségolène Royal". Sur l’antenne de France Info, évoquant la dernière conférence environnementale du quinquennat, l’ex-candidate à la présidentielle a fait un joli lapsus révélateur en se présentant comme étant "à la tête de ce gouvernement".
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#5 - "Des gens qui n’ont rien dans le cerveau"
Nicolas Sarkozy a attendu plusieurs semaines avant de s’exprimer sur le Nuit debout. Et puis, à l’occasion d’un déplacement à Nice pour soutenir la candidate à la législative partielle Marine Brenier, le patron de LR a sorti le lance-flammes pour fustiger ce mouvement, parlant de "gens qui n’ont rien dans le cerveau" et viennent "donner des leçons à la démocratie française". L’ex-chef de l’Etat a précisé sa pensée quelques jours plus tard en assurant qu’il respectait le mouvement mais que c’était "leur pensée qui est vide".
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