#QAG - Nouvelle séance de questions au gouvernement ce mardi à l'Assemblée nationale. Les députés se réunissent pour interpeller le gouvernement sur les questions d'actualité.
Parmi les sujets de ce 2 avril : un projet de réforme des allocations familiales pour les familles aisées, le non-cumul des mandats et, encore et toujours, la refonte de la taxe à 75%.
C'est aussi la première séance de questions après l'interview du chef de l'Etat sur France 2.
Parmi les intervenants de ce jour, l'ancien conseille spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, le patron des centristes de l'UDI, Jean-Louis Borloo, le député-maire de Nice, Christian Estrosi.
15H59 - Les députés quittent l'hémicyle sans attendre la fin des questions au gouvernement.
15H50 - Bernard Cazeneuve, le ministre du Budget répond, très énervé, au député UMP du Nord , Gérald Darmanin qui dénonce un "matraquage fiscal".<img src="http://gifgear.com/gif/f94cf3909467fc09daf8d809ff4222da" alt="" width="500" />
15H40 - Derrière Christian Estrosi, le député UMP de l'Oise Lucien Degauchy a revêtu sa plus belle veste jaune.
15H30 - Jean-Louis Borloo, député centriste du Nord, pose une question sur Florange.
Sous l'œil attentif de Najat Vallaud-Belkacem...
... pendant que Jean-Marc Ayrault consulte son smartphone.
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15H27 - Bel exemple de grappe autour d'Edouard Philippe, le député UMP de Seine-Maritime. Rappellons pour les non initiés qu'une "grappe" désigne cette étrange migration, chaque mardi et chaque mercredi, entre 14 heures et 15 heures. Une double heure hebdomadaire pendant laquelle les députés se rapprochent le plus possible de l'orateur afin d'être dans le champ des caméras de France 3 et être vus à la télévision par leurs électeurs.
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15H25 - L'ancien ministre Bruno Le Maire, député UMP de l'Eure a l'air plus absorbé par Le Monde que par ce qu'il se passe dans l'hémicycle.
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15H20 - Michel Sapin, ministre du Travail et Manuel Valls, ministre de l'Intérieur sont en grande conversation. Et ça a l'air grave.
Même chose pour la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti et le ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon.
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15H10 - Henri Guaino, le député UMP des Yvelines cité à comparaître par le juge Gentil, apostrophe Jean-Marc Ayrault en faisant un parallèle historique qui fait bondir la majorité.
Souvenez-vous de Zola, accusé ici-même par un chef de gouvernement de la IIIème République d'avoir déshonoré l'armée parce qu'il avait remis en cause l'autorité de la chose jugée.
Mais ce n'était pas Zola qui déshonorait l'armée, c'étaient les juges qui avaient condamné sciemment un innocent. [...]
Je ne suis pas Zola. Nous ne sommes pas dans l'affaire Dreyfus. Mais les grandes leçons de notre histoire ne doivent jamais être oubliées.
Ce n'est pas le premier ministre mais Christiane Taubira qui prend le micro pour lui répondre. Après lui avoir apporté une réponse sur le fond, la garde des Sceaux lui lance :
Vous n'avez pas attaqué un homme [le juge Gentil, ndlr]. Vous avez attaqué l'institution judiciaire parce qu'il y avait trois magistrats instructeurs qui ont pris la décision [de la mise en examen de Nicolas Sarkozy, ndlr].
Et vous êtes invité à de la réserve concernant l'institution judiciaire.
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Immédiatemment, Michèle Delaunay, ministre déléguée chargée des personnes agées tweete :
#QAG Guaino fait toujours trop grand : après Malraux, Zola, difficile de faire mieux la prochaine fois !
— Michèle Delaunay (@micheledelaunay) 2 avril 2013
Et le député socialiste de l'Ardèche Olivier Dussopt y voit même une "forme de délire":
#directan et voila #guaino qui retombe dans une forme de délire....
— Olivier Dussopt (@olivierdussopt) 2 avril 2013
15H05 - Michel Sapin, le ministre du Travail défend avec moult gestes l'accord du 11 janvier sur l'emploi.
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15H03 - Jean-François Copé, le président de l'UMP, papote avec la vice-présidente de son parti, Michèle Tabarot.
Christian Jacob, le patron du groupe UMP, mordille ses lunettes.
15 heures - Les ministres ont l'air studieux sur leurs bancs.
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14H59 - Au moment où Claude Bartolone monte en courant au perchoir pour lancer la séance, Patrick Balkany, député UMP de la cinquième circonscription des Hauts-de-Seine donne des nouvelles de son ami Nicolas Sarkozy, mis en examen dans l'affaire Bettencourt.
Rassurez vous, Nicolas Sarkozy va très bien. Il est très punchy. Il est en pleine forme. Je crois que cette affaire l'a plutôt boosté qu'autre chose.
