Sarkozy qui traite Hollande de "couille molle" au sujet de la Syrie, sujet le plus lu de la semaine

Publié à 17h47, le 12 septembre 2015 , Modifié à 17h47, le 12 septembre 2015

Sarkozy qui traite Hollande de "couille molle" au sujet de la Syrie, sujet le plus lu de la semaine
© AFP

#TOPHEBDO - C'est samedi, c'est Top Hebdo. Juste avant le Flop Hebdo du dimanche, retrouvez le classement des articles les plus lus cette semaine sur notre site.

Et cette semaine, c'est la phrase de Nicolas Sarkozy qui qualifie François Hollande de "couille molle", rapportée par le Canard Enchaîné, qui domine le Top 5. Mais ce n'est pas tout.

#1 - Point vocabulaire

La décision présidentielle d'effectuer des vols d'observation au-dessus de la Syrie n'a pas franchement ravi Nicolas Sarkozy. Et si Nicolas Sarkozy a des surnoms pour ses futurs adversaires à la primaire LR, il a trouvé, après le "moi je", un nouveau surnom pour François Hollande : "couille molle", selon le Canard Enchaîné

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#2 - Et nos SDF ?

C'est le mot préféré de Gilbert Collard en ce moment : "hypocrite". Hypocrites ceux qui ont décidé de diffuser la photo d'Aylan Kurdi. Hypocrites également ceux qui se mobilisent pour les migrants. Oui, car selon le député RBM, ces derniers ne lèvent pas le petit doigt pour les sans-abris en France.

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#3 - Il dit qu'il voit pas le rapport

Robert Ménard est un homme qui aime la provocation. Alors, à l'heure d'évoquer le sort des migrants dans son fameux journal de Béziers, il choisit une illustration *un peu* particulière : une photo de la nouvelle ministre du Travail Myriam El-Khomri.

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#4 - Peur de "terroristes déguisés"

Le maire LR de Roanne a donné son avis quant à l'accueil des migrants. Oui, Roanne acceptera des réfugiés mais à une condition : qu'ils soient chrétiens. Le tout avant de préciser que parmi ces migrants pouvait se trouver des "terroristes déguisés".

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#5 - Remember 2007

Moment gênant lors de la 6ème conférence de presse du quinquennat de François Hollande. Expliquant qu'une défaite aux régionales n'entraîne pas forcément une défaite à la présidentielle, il prend l'exemple de 2007 où le PS avait gagné les régionales précédentes avant de voir Ségolène Royal perdre contre Nicolas Sarkozy. Cruauté ultime lorsque le réalisateur montre la tête de Ségolène Royal. 

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