Si Sarkozy a parlé, c'est pour couvrir les bourdes de Guaino et Morano, dixit Philippot

Publié à 09h13, le 26 mars 2013 , Modifié à 09h15, le 26 mars 2013

Si Sarkozy a parlé, c'est pour couvrir les bourdes de Guaino et Morano, dixit Philippot
(Maxppp).

Avec des amis comme cela, pas besoin d'ennemis. Florian Philippot ne cite pas le dicton célèbre, mais l'idée y est. Le vice-président du Front national, invité ce mardi d'iTélé, estime que l'ancien président de la République, récemment mis en examen, a du finir par s'exprimer publiquement contraint et forcé.

La raison ? Ses amis. Henri Guaino et Nadine Morano notamment, dont la défense a provoqué quelques polémiques ces derniers jours. 

Florian Philippot ironise :

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Quand Monsieur Guaino nous a dit qu'il fallait que le juge, qui a osé mettre en examen son Excellence Monsieur Sarkozy, vienne s'expliquer devant les Français ,

Ou quand Madame Morano a osé comparer cela à l'affaire d'Outreau ,

Monsieur Sarkozy a du se dire: 'Oulala, je suis mal défendu. Mes avocats sont en train de m'enfoncer, il va falloir que j'y aille moi-même sur l'arène."

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Lundi 25 mars, Nicolas Sarkozy a en effet posté un message sur sa page Facebook , dans lequel il dénonce une mise en examen "injuste et infondée". Mais il prend soin d'y préciser ne devoir bénéficier d'aucun traitement de faveur :

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Il va de soi que je ne réclame aucun traitement particulier si ce n'est celui de tout citoyen d'avoir le droit à une justice impartiale et sereine.

"

Du rab sur le Lab

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